Le peu d'information disponible sur l'emballage des 'beurres' de Saint Hubert n'incite guère à y être fidèle, même s'ils se tartinent facilement. Un vrai beurre, celui d'Echiré, n'offre absolument aucune information sur sa composition et on ne trouve pas grand chose sur son site... Mais il se tartine bien aussi. A défaut du Bon beurre ou du Bordier... Même déficit d'information pour le camembert Gillot. Un Gillot 'mauve' trouvé dans la bonne boutique de la rue des Martyrs est un véritable régal, bien meilleur que le dernier (noir) acheté à Monoprix. Le mauve serait-il réservé aux boutiques ? Rien sur le site de Gillot. Je vais les appeler.
Dans notre besace dominicale, deux guides : le Pudlo Paris 2011 et celui du Figaroscope. Pudlo ? 1 639 restaurants (dix de plus que l'an dernier, bravo). Gros changement : la photo de l'auteur, en plan américain (gros plan l'an dernier), plus flatteuse (antérieure à celle du guide 2010 ??). Pudlo se plaignait de l'opacité du Michelin, qui ne justifie pas ses changements de note... Lui non plus, au moins pour la Tour d'Argent, qui passe de trois à deux, sans que le long texte correspondant en dise un mot ! Pudlo s'est mélangé les pinceaux pour l'Agapé en y mentionnant un 'Olivier Grébaut'.
Le Figaroscope réussit l'exploit de sortir un guide des 'meilleurs restaurants' de Paris 2011 sans mentionner l'Arpège. Toutes nos félicitations ! Il rejoint un club très fermé comprenant le City Guide Louis Vuitton.
Après le déménagement de Marie, qui cherche un stage dans l'édition, déjeuner au Virage Custine. A part les vraies frites, rien à sauver, surtout pas le Brouilly. Pas loin, une adresse mythique à revisiter prochainement : Les négociants. A la librairie des Abbesses, plusieurs titres de Roberto Bolano, dont l'épais 2666.
Dans les victimes de la vindicte de Rubinmantoux : Gilles Brochard. Son nom n'est pas cité, mais il est sans doute un des rares auteurs de guide de salon de thé à pouvoir donner des conseils... Il est pourtant intéressant dans les émissions de radio, mais je garde de lui un souvenir décevant : au pré Catelan, pour un cocktail des Relais et Châteaux, il s'extasiait sur des canapés sans intérêt. Sans appel.
Dans son clip de Direct8, FS fait un compliment sans réserve à l'Atelier Robuchon Montalembert. Bien vu ! C'est tellement bon ! Reste qu'il n'a pas dû boire beaucoup pour s'en sortir à 105 par personne.
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